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DVD et Blu-Ray : The King of New York en (master restauré)

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Notre avis : etoile-orangeetoile-orangeetoile-orangeetoile-orangeetoile-grise(4/5)

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(King of New York)
film d'Abel Ferrara
Pays d'origine : Italie, États-Unis, Royaume-Uni
Année : 1990
Genre : Polar

En DVD :
Nouveau master restauré HD
Version originale dolby digital 5.1 & 2.0
Version française 2.0
Sous-titres français
Format 1.77 - 16/9 compatible 4/3, couleurs
Durée du film : 1h 39’

En Blu-ray Disc :
Boitier métal « Steelbook »
Master haute definition 1080/23.98p
Encodage AVC
Version originale DTS-HD MA 6.1 & 2.0
Version française DTS-HD MA 2.0
Sous-titres français
Format 1.77
Durée : 1h 43’

Synopsis

Frank White sort de prison après y avoir passé cinq années pour trafic de drogue. Il retrouve ses complices et décide de devenir le patron de la drogue. Mais Frank White a « pété un plomb » et veut se donner bonne conscience. S’il reprend la première place dans le milieu, c’est pour construire un hôpital pour enfants et devenir un homme « honorable ». Partant du principe qu’on n’oblige personne à se défoncer, il trouve normal de vendre et faire vendre de la cocaïne et normal de flinguer tous ceux qui s’opposent à lui. Cette singulière logique et ses méthodes expéditives lui permettent de se rapprocher des élus municipaux et de devenir « Le » parrain de la drogue à New York. Mais, comme il n’y a pas loin du Capitole à la Roche Tarpéienne, cette ascension éclair va se gripper et la chute n’en sera que plus dure.


CRÉDITS PHOTOGRAPHIQUES © IFC / MEDIASET. Tous droits réservés.

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Commentaire artistique

Le film, lors de sa sortie en France, a été interdit aux moins de 12 ans et aux moins de 16 à la télévision et cela se comprend, vu la violence des images et le côté glaçant du personnage principal, Frank White, joué brillamment par Christopher Walken, qui n’est pas habituellement un spécialiste de la chose. Ici, sa présence sur l’écran est totale, dérangeante, inquiétante. On devine que quelque chose dans sa tête ne va pas bien et qu’il n’est pas comme les autres. Aux Etats-Unis, ce film a dérangé aussi les bien-pensants d’une part parce qu’il donnait à voir un malfrat dirigeant des truands noirs, ce qui violait le politiquement correct qui inondait et continue à inonder les films de vertueux Noirs, mais également un monde qu’ils ignorent, celui des bas-fonds. Ce New York filmé la nuit est d’une beauté et d’une laideur fascinantes, grâce à la photographie de Bojan Bazelli. La musique qui va des Saisons de Vivaldi (l’Automne) à des rocks écrits par Joe Delia soutiennent bien l’action et le climat de ce film qui, bien que traitant de milieux très brutaux, n’est jamais glauque. Aucune fascination du metteur en scène pour ces malfrats. Ce qui fait que le spectateur reste extérieur à leurs mésaventures.

Suppléments

  • Possession (27’)
  • Un entretien entre Abel Ferrara et Nicole Brenez, historienne du cinéma sur King of New York et sa place dans la culture urbaine américaine.
  • Entretien avec Augusto Caminito (19’) : Le producteur Augusto Caminito explique comment est né le film et comment il a été tourné, sans moyens hollywoodiens. Il explique aussi sa rencontre avec Abel Ferrara et Christopher Walken.
  • Bande-Annonce

Plus d'infos et commande en ligne : www.carlottavod.com

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