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Videoprojecteur : Dreamvision Cinema Ten Pro

- Luminosité : 1 100 ANSI Lumens
- Contraste : 1 100/1
- Uniformité : 98 %
- Lampe : 200 W de type UHP
- fBH : de 15 à 85 kHz
- fBV : de 45 à 100 Hz
- Zoom : 1,5x et focus manuels
- Dimensions : 400 x 130 x 325 mm
- Poids : 4,5 kg
- Prix au 01/02/2002 : 10 460 EUR


Le Cinema Ten Pro est un vidéoprojecteur mono-DMD, avec une matrice 4/3 de l’écurie Texas Instruments au format vidéo. La résolution native de cette (1024 x 768) est utilisée au meilleur de ses possibilités par une électronique capable de compression de données, du coup, le Cinema Ten Pro est un vidéoprojecteur compatible SXGA, TVHD et Wide XGA. En effet, si la matrice de ce mono-DMD est définitivement 4/3, les sources 16/9 sont acceptées, et adaptées grâce à des barres noires sur les films en format 1.66, 1.85 ou 2.35.
Dreamvision n’a pas lésiné sur les moyens en offrant au Cinema Ten Pro une optique Light Engine signée Carl Zeiss. Il s’agit d’un des seuls modèles du marché à arborer des lentilles entièrement en verre, là où d’autres la jouent plastique ou l'hybride (verre+plastique).
L’effort de Dream ne s’est pas arrêté en si bon chemin de lumière car les plus récentes techniques appliquées au mono-DMD se retrouvent sur ce Cinema Ten Pro, à commencer par une roue codeuse de chroma à six segments (au lieu de trois habituellement).
Doté de circuits de "resizing" des sources vidéo, du désentrelacement et de la détection d’une image 100 % vidéo ou d’une image issue d’un télécinéma (avec mode 3/2 Pull Down), le Cinema Ten Pro se pose en conquérant aux mille compatibilités. Il peut comprendre, gérer et diffuser les sources vidéo classiques, les sources en Progressive Scan (480, 720 et 1025p), la Haute Définition entrelacée (1080i), les signaux informatiques (DVI et RGB, dans une limite d’une fréquence de balayage horizontal de 85 kHz), et il accepte de travailler en YUV, en Y/C ainsi qu’en RGB (avec synchros séparées).
Le menu à l’écran à la navigation agréable donne l’occasion de jouer avec l’image de façon large, voire inédite, avec notamment un shift numérique horizontal et vertical (déplacement de l’image) même avec les signaux vidéo !), une modulation de la température des couleurs, un réglage du trapèze, un mode 16/9 et un blanking sur les quatre côtés de l’image.



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