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CD : Max Bruch (1838-1920) - Septuor op. posth. / Felix Weingartner (1863-1942) - Octuor op. 73

bruch-felix-weingartner-octuor-de-francepar l’Octuor de France
Jean-Louis Sajot (cl), Yuriko Naganuma (1er vln), Jean-Christophe Grall (vln), Laurent Jouanneau (avln), Paul Broutin (cello), Michel Fouquet (b), Antoine Dègremont (cor), Jacques Thareau (basson), Jeff Cohen (p)
Durée : 1h 12’ 22’’
CAL 1103
www.indesens.fr
www.indesensrecord.com
www.octuordefrance.com
Notre avis : etoile-bleueetoile-bleueetoile-bleueetoile-bleueetoile-grise(4/5)

L’octuor de France est une superbe formation. Constituée à l’origine pour faire connaître les œuvres avec clarinette du XVIIIème siècle à nos jours, et à promouvoir la musique française, elle déborde aujourd’hui largement de son cadre.

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La voici dans deux œuvres de compositeurs autrichiens. Un septuor posthume, tout d’abord, du compositeur Max Bruch, qu’on méconnaît bien souvent en France, hormis son concerto pour violon. Il a pourtant de bien belles œuvres à son actif. Ce septuor, aux accents post-romantiques affirmés, n’a rien à voir avec la musique germanique wagnérienne. Une musique mélodieuse à souhait, avec un adagio délicieux en deuxième mouvement. Musique élégante aussi et raffinée que celle de Felix Weingartner dont l’octuor op. 73 nous donne un bel exemple. Weingartner était plus cosmopolite encore que Max Bruch, puisque, croate de Zadar, il va succéder à Gustav Mahler à Vienne, puis connaîtra une carrière internationale. Lui aussi est un post-romantique et son octuor en a les accents significatifs. Deux compositeurs trop facilement négligés par les concertistes, mais qui méritent d’être joués davantage. En le faisant, l’Octuor de France s’honore beaucoup.

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