Maurice Ravel. Francis Poulenc : Daphnis et Chloé
Daphnis et Chloé
par Michael Gielen
& le Swr Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg
Les Biches
par Marcello Viotti
Hänssler Classic ( Integral Distribution )
Durée: 77 mn
Notation : :-) :-) :-) :-)
Commandé par le chorégraphe Serge Diaghilev, Daphnis et Chloé sera donné pour la première fois en 1912. Maurice Ravel use ici d'une palette sonore d'un extrême raffinement, alternant subtilement crescendos et pianissimos vertigineux, à la limite de l'aérien et de l'impalpable. Bien que ne pouvant se comparer à Monteux ni à Munch, la version de Michael Gielen ne manque pas de panache et traduit à merveille - grâce à l'excellent Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg - chaque détail même infime de l'écriture orchestrale ravélienne.
C'est Marcello Viotti qui dirige le Ballet Les Biches de Francis Poulenc, qui, lui aussi, résulte d'une commande de Diaghilev et qui sera créé en 1924. Très belle exécution du chef d'orchestre Italien, qui sans faire oublier une version célèbre due à Georges Prêtre, traduit avec aisance les finesses d'une partition très nettement imprégnée de néo-classicisme !
texte de Michel Jakubowicz
par Michael Gielen
& le Swr Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg
Les Biches
par Marcello Viotti
Hänssler Classic ( Integral Distribution )
Durée: 77 mn
Notation : :-) :-) :-) :-)
Commandé par le chorégraphe Serge Diaghilev, Daphnis et Chloé sera donné pour la première fois en 1912. Maurice Ravel use ici d'une palette sonore d'un extrême raffinement, alternant subtilement crescendos et pianissimos vertigineux, à la limite de l'aérien et de l'impalpable. Bien que ne pouvant se comparer à Monteux ni à Munch, la version de Michael Gielen ne manque pas de panache et traduit à merveille - grâce à l'excellent Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg - chaque détail même infime de l'écriture orchestrale ravélienne.
C'est Marcello Viotti qui dirige le Ballet Les Biches de Francis Poulenc, qui, lui aussi, résulte d'une commande de Diaghilev et qui sera créé en 1924. Très belle exécution du chef d'orchestre Italien, qui sans faire oublier une version célèbre due à Georges Prêtre, traduit avec aisance les finesses d'une partition très nettement imprégnée de néo-classicisme !
texte de Michel Jakubowicz