Chostakovitch : Ouverture de Fête, Symphonie n°5
Chostakovitch
Ouverture de Fête
Symphonie No 5
par le Philharmonia Orchestra
dirigé par Vladimir Ashkenazy
Signum Classics
(Integral Distribution)
Durée : 50’ 13’’
Notation : :-) :-) :-) :-)
Une Ouverture de Fête bien peu personnelle, visiblement faite pour s’attirer les bonnes grâces d’un régime qui le surveille de près, la Cinquième Symphonie bien que teintée d’héroïsme et de fausse objectivité, semble également rentrer dans le rang surtout si on la compare avec son étrange et dérangeante Quatrième Symphonie ! Vladimir Ashkenazy, dirigeant un Philharmonia Orchestra des grands jours, nous offre une Cinquième Symphonie puissante, épique, accentuant avec frénésie les vertiges accumulés dans le Largo, grâce à des cordes somptueuses . Seul l’Allegro non troppo final cède à une certaine tradition pompeuse faite de lenteur et de solennité. Version donc plus qu’honorable, même si l’on peut rester fidèle aux versions gravées depuis déjà pas mal d’années par Kondrachine, Mravinski, Haitink ou Ancerl !
texte de Michel Jakubowicz
Ouverture de Fête
Symphonie No 5
par le Philharmonia Orchestra
dirigé par Vladimir Ashkenazy
Signum Classics
(Integral Distribution)
Durée : 50’ 13’’
Notation : :-) :-) :-) :-)
Une Ouverture de Fête bien peu personnelle, visiblement faite pour s’attirer les bonnes grâces d’un régime qui le surveille de près, la Cinquième Symphonie bien que teintée d’héroïsme et de fausse objectivité, semble également rentrer dans le rang surtout si on la compare avec son étrange et dérangeante Quatrième Symphonie ! Vladimir Ashkenazy, dirigeant un Philharmonia Orchestra des grands jours, nous offre une Cinquième Symphonie puissante, épique, accentuant avec frénésie les vertiges accumulés dans le Largo, grâce à des cordes somptueuses . Seul l’Allegro non troppo final cède à une certaine tradition pompeuse faite de lenteur et de solennité. Version donc plus qu’honorable, même si l’on peut rester fidèle aux versions gravées depuis déjà pas mal d’années par Kondrachine, Mravinski, Haitink ou Ancerl !
texte de Michel Jakubowicz