Klaus Huber : Miserere Hominibus
Miserere Hominibus
Agnus Dei cum Recordatione
par les Jeunes Solistes
dirigés par Rachid Safir
Durée : 54’ 36’’
Soupirs Editions S 216
(Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. )
Notation : :-o :-o :-o
“Les Jeunes Solistes”, dirigés par Rachid Safir, ce sont de jeunes instrumentistes (vièles, luth, flûtes, harpes, clarinettes, alto, viole d’amour, guitare, théorbe, violoncelle, contrebasse et percussions) et de jeunes chanteurs et chanteuses (sopranos, mezzo, contreténors, ténors, barytons, basse) qui se sont attaqués à deux œuvres contemporaines du compositeur suisse Klaus Huber, l’Agnus Dei cum Recordatione et le tout récent Miserere Hominibus. Deux œuvres, pas faciles, la première pour 4 chanteurs et trois instrumentistes, la seconde pour sept et sept, très ancrées dans la musique qu’on pourrait appeler spirituelle, religieuse, mystique ou sacrée, pour peu que l’on admette que les athées aussi peuvent inventer des musiques transcendantales, la foi en l’humanité faisant naître des piétés qui en valent bien d’autres. Ces deux œuvres, très messiaeniques, pour ne pas dire bouleziennes, sont du dessus du panier.
texte d'Yvette Maire
Agnus Dei cum Recordatione
par les Jeunes Solistes
dirigés par Rachid Safir
Durée : 54’ 36’’
Soupirs Editions S 216
(
Notation : :-o :-o :-o
“Les Jeunes Solistes”, dirigés par Rachid Safir, ce sont de jeunes instrumentistes (vièles, luth, flûtes, harpes, clarinettes, alto, viole d’amour, guitare, théorbe, violoncelle, contrebasse et percussions) et de jeunes chanteurs et chanteuses (sopranos, mezzo, contreténors, ténors, barytons, basse) qui se sont attaqués à deux œuvres contemporaines du compositeur suisse Klaus Huber, l’Agnus Dei cum Recordatione et le tout récent Miserere Hominibus. Deux œuvres, pas faciles, la première pour 4 chanteurs et trois instrumentistes, la seconde pour sept et sept, très ancrées dans la musique qu’on pourrait appeler spirituelle, religieuse, mystique ou sacrée, pour peu que l’on admette que les athées aussi peuvent inventer des musiques transcendantales, la foi en l’humanité faisant naître des piétés qui en valent bien d’autres. Ces deux œuvres, très messiaeniques, pour ne pas dire bouleziennes, sont du dessus du panier.
texte d'Yvette Maire