Carl Philip Emanuel Bach : Matthäus Passion 1769
Matthäus Passion 1769
par l’Amsterdam Baroque Orchestra & Choir
dirigés par Ton Koopman
ORF Edition Alte Musik
(Integral Distribution)
Durée : cd 1 : 55 mn 26 , cd 2 : 46 mn 31
Notation : :-) :-) :-) :-)
Même si cette Passion selon Saint Matthieu de Carl Philip Emanuel Bach ne saurait rivaliser avec celle de son père, il faut lui reconnaître une sincérité, une profondeur réelles même si la dimension tragique reste en définitive l’apanage de La Passion Selon Saint Matthieu de Johann Sebastian Bach.
Partant du livret original de 1769, Ton Koopman, avec son Orchestre Baroque d’Amsterdam, apporte un éclairage nouveau sur une œuvre méconnue, longtemps éclipsée par les œuvres instrumentales de Carl Philip Emanuel Bach (symphonies, concertos, sonates). Une réussite convaincante qui peut s’expliquer par une distribution vocale éclatante, puisque non seulement on y trouve Deborah York (soprano), Franziska Gottwald (alto), Jörg Dürmüller (ténor) dans le rôle de l’Evangéliste, mais surtout, la basse Klaus Mertens dans le rôle de Jésus.
texte Michel Jakubowicz
par l’Amsterdam Baroque Orchestra & Choir
dirigés par Ton Koopman
ORF Edition Alte Musik
(Integral Distribution)
Durée : cd 1 : 55 mn 26 , cd 2 : 46 mn 31
Notation : :-) :-) :-) :-)
Même si cette Passion selon Saint Matthieu de Carl Philip Emanuel Bach ne saurait rivaliser avec celle de son père, il faut lui reconnaître une sincérité, une profondeur réelles même si la dimension tragique reste en définitive l’apanage de La Passion Selon Saint Matthieu de Johann Sebastian Bach.
Partant du livret original de 1769, Ton Koopman, avec son Orchestre Baroque d’Amsterdam, apporte un éclairage nouveau sur une œuvre méconnue, longtemps éclipsée par les œuvres instrumentales de Carl Philip Emanuel Bach (symphonies, concertos, sonates). Une réussite convaincante qui peut s’expliquer par une distribution vocale éclatante, puisque non seulement on y trouve Deborah York (soprano), Franziska Gottwald (alto), Jörg Dürmüller (ténor) dans le rôle de l’Evangéliste, mais surtout, la basse Klaus Mertens dans le rôle de Jésus.
texte Michel Jakubowicz