Bach : Gulda Plays Bach
Gulda Plays Bach
Deutsche Grammophon
(Universal)
Durée : 72 mn 27
Notation : :-D :-D :-D :-D :-D
Enregistrées par Friedrich Gulda entre 1955 et 1969, ces œuvres de Bach nous en apprennent beaucoup sur l’art du piano pratiqué par une personnalité excentrique, hors norme, dont les goûts musicaux oscillaient entre classique et jazz. Parmi les pièces de Bach figurant ici, il faut noter les deux imposantes Suites Anglaises BWV 807 et BWV 808, le Concerto Italien BWV 971, Friedrich Gulda concluant avec une de ses propres compositions rendant hommage par leur titre à la mémoire du Grand Cantor de Leipzig : Prélude et Fugue !
Peu conventionnel, flamboyant, le style de Friedrich Gulda s’affranchit avec une pseudo-désinvolture du style alors en vigueur pratiqué par des artistes tels que Wilhelm Kempff, Edwin Fischer ou Sviatoslav Richter ! Dommage que ne figurent pas dans ce disque quelques extraits du Clavier bien tempéré que Friedrich Gulda, heureusement, enregistrera intégralement pour Philips !
texte de Michel Jakubowicz
Deutsche Grammophon
(Universal)
Durée : 72 mn 27
Notation : :-D :-D :-D :-D :-D
Enregistrées par Friedrich Gulda entre 1955 et 1969, ces œuvres de Bach nous en apprennent beaucoup sur l’art du piano pratiqué par une personnalité excentrique, hors norme, dont les goûts musicaux oscillaient entre classique et jazz. Parmi les pièces de Bach figurant ici, il faut noter les deux imposantes Suites Anglaises BWV 807 et BWV 808, le Concerto Italien BWV 971, Friedrich Gulda concluant avec une de ses propres compositions rendant hommage par leur titre à la mémoire du Grand Cantor de Leipzig : Prélude et Fugue !
Peu conventionnel, flamboyant, le style de Friedrich Gulda s’affranchit avec une pseudo-désinvolture du style alors en vigueur pratiqué par des artistes tels que Wilhelm Kempff, Edwin Fischer ou Sviatoslav Richter ! Dommage que ne figurent pas dans ce disque quelques extraits du Clavier bien tempéré que Friedrich Gulda, heureusement, enregistrera intégralement pour Philips !
texte de Michel Jakubowicz