Debussy. Schmitt. Stravinski
Claude Debussy
Prélude à l’après-midi d’un faune
Florent Schmitt
La Tragédie de Salomé
Igor Stravinski
Petrouchka
par le Swr Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg
dirigé par Sylvain Cambreling
Hänssler Classic (Integral Distribution)
Durée : 75 mn 41
Notation : :-) :-) :-) :-)
Composées pour les Ballets Russes de Serge Diaguilev, ces œuvres ont depuis longtemps gagné leur autonomie en devenant comme Petrouchka ou le Prélude à l’après-midi d ’un faune, les chefs-d’œuvre incontournables de toutes les grandes salles de concert !
Si Claude Debussy, s’inspirant du poème de Mallarmé, traduit avec un sens du coloris orchestral inouï les tribulations d’un faune mystérieux, que dire du climat maléfique, sinistre, dégagé par la Tragédie de Salomé de Florent Schmitt, où semblent s’accumuler toutes les terreurs, toute les folies. Quant à Petrouchka, créature de chiffon, elle retourne au néant une fois décapitée par l’abominable Maure ! Ces trois partitions trouvent en Sylvain Cambreling un chef qui ne sombre pas dans la routine, s’évertuant à redonner à ces œuvres toutes leurs couleurs originelles, toute leur fraîcheur inaltérée.
texte de Michel Jakubowicz
Prélude à l’après-midi d’un faune
Florent Schmitt
La Tragédie de Salomé
Igor Stravinski
Petrouchka
par le Swr Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg
dirigé par Sylvain Cambreling
Hänssler Classic (Integral Distribution)
Durée : 75 mn 41
Notation : :-) :-) :-) :-)
Composées pour les Ballets Russes de Serge Diaguilev, ces œuvres ont depuis longtemps gagné leur autonomie en devenant comme Petrouchka ou le Prélude à l’après-midi d ’un faune, les chefs-d’œuvre incontournables de toutes les grandes salles de concert !
Si Claude Debussy, s’inspirant du poème de Mallarmé, traduit avec un sens du coloris orchestral inouï les tribulations d’un faune mystérieux, que dire du climat maléfique, sinistre, dégagé par la Tragédie de Salomé de Florent Schmitt, où semblent s’accumuler toutes les terreurs, toute les folies. Quant à Petrouchka, créature de chiffon, elle retourne au néant une fois décapitée par l’abominable Maure ! Ces trois partitions trouvent en Sylvain Cambreling un chef qui ne sombre pas dans la routine, s’évertuant à redonner à ces œuvres toutes leurs couleurs originelles, toute leur fraîcheur inaltérée.
texte de Michel Jakubowicz