Bruckner (Symphonie n°8) Mozart (Symphonie n°38)
Anton Bruckner
Symphonie No 8
Wolfgang Amadeus Mozart
Symphonie No 38 “ Prague “
par le Staatskapelle Dresden
dirigé par Bernard Haitink
Edition Staatskapelle Dresden . Vol . 24
Profil Hänssler
(Integral Distribution)
Durée : cd 1 : 59 mn 53 cd 2 : 54 mn 11
Notation : :-D :-D :-D :-D :-D
Brucknérien inspiré, Bernard Haitink choisit ici la version de Robert Haas, hissant cette Symphonie aux dimensions colossales au plus haut du firmament symphonique symbolisé par ce gigantesque bloc sonore aux parois vertigineuses, que peu de chefs d’orchestre parviennent à maîtriser ou à dompter. C’est peut-être dans l’immense adagio, Feierlich langsam, doch nicht schleppend que l’interprétation de Bernard Haitink dirigeant un Staatskapelle Dresden porté à incandescence, confine au sublime, préparant ainsi l’accession au finale Feierlich , nicht schnell réellement dantesque et convulsif.
Bernard Haitink dirigeant toujours le Staatskapelle Dresden achève ce concert donné en 2002 par une version véritablement somptueuse de la Symphonie n° 38 «Prague» de Mozart, une œuvre amputée de son menuet, accentuant du même coup son aspect dramatique.
texte de Michel Jakubowicz
Symphonie No 8
Wolfgang Amadeus Mozart
Symphonie No 38 “ Prague “
par le Staatskapelle Dresden
dirigé par Bernard Haitink
Edition Staatskapelle Dresden . Vol . 24
Profil Hänssler
(Integral Distribution)
Durée : cd 1 : 59 mn 53 cd 2 : 54 mn 11
Notation : :-D :-D :-D :-D :-D
Brucknérien inspiré, Bernard Haitink choisit ici la version de Robert Haas, hissant cette Symphonie aux dimensions colossales au plus haut du firmament symphonique symbolisé par ce gigantesque bloc sonore aux parois vertigineuses, que peu de chefs d’orchestre parviennent à maîtriser ou à dompter. C’est peut-être dans l’immense adagio, Feierlich langsam, doch nicht schleppend que l’interprétation de Bernard Haitink dirigeant un Staatskapelle Dresden porté à incandescence, confine au sublime, préparant ainsi l’accession au finale Feierlich , nicht schnell réellement dantesque et convulsif.
Bernard Haitink dirigeant toujours le Staatskapelle Dresden achève ce concert donné en 2002 par une version véritablement somptueuse de la Symphonie n° 38 «Prague» de Mozart, une œuvre amputée de son menuet, accentuant du même coup son aspect dramatique.
texte de Michel Jakubowicz