Beethoven : Symphonie No 3 , op . 55 Héroïque ; Symphonie No 9 , op. 125
Symphonie No 3 , op . 55 « Héroïque «
Symphonie No 9 , op. 125
par l’Orchestre Philharmonique de Berlin
dirigé par Herbert von Karajan
Audite
(Integral Distribution)
Durée : cd 1 : 53 mn 23 cd 2 : 70 mn 34
Notation : :-D :-D :-D :-D :-D
Avec ces deux symphonies aux proportions gigantesques, la Neuvième Symphonie dépassant largement la durée d’une heure, Ludwig van Beethoven fait éclater le schéma traditionnel de la symphonie hérité de Haydn et de Mozart. Herbert von Karajan qui enregistrera de nombreuses fois ces deux œuvres, est particulièrement prenant dans la marcia funèbre de la symphonie n° 3 «Héroïque», insufflant au dernier mouvement de la Neuvième Symphonie une force et un élan irrésistibles. Enregistrés en direct, en 1953 et en 1957 par Herbert von Karajan, ces concerts réunissaient dans la symphonie n° 9 un quatuor vocal assez extraordinaire puisqu’il se composait d’Elisabeth Grümmer, soprano, Marga Höffgen, alto, Ernst Haefliger, ténor, Gottlob Frick, basse, auxquels venait s’adjoindre le superbe Chor der St. Hedwigs- Kathedrale, de Berlin.
texte de Michel Jakubowicz
Symphonie No 9 , op. 125
par l’Orchestre Philharmonique de Berlin
dirigé par Herbert von Karajan
Audite
(Integral Distribution)
Durée : cd 1 : 53 mn 23 cd 2 : 70 mn 34
Notation : :-D :-D :-D :-D :-D
Avec ces deux symphonies aux proportions gigantesques, la Neuvième Symphonie dépassant largement la durée d’une heure, Ludwig van Beethoven fait éclater le schéma traditionnel de la symphonie hérité de Haydn et de Mozart. Herbert von Karajan qui enregistrera de nombreuses fois ces deux œuvres, est particulièrement prenant dans la marcia funèbre de la symphonie n° 3 «Héroïque», insufflant au dernier mouvement de la Neuvième Symphonie une force et un élan irrésistibles. Enregistrés en direct, en 1953 et en 1957 par Herbert von Karajan, ces concerts réunissaient dans la symphonie n° 9 un quatuor vocal assez extraordinaire puisqu’il se composait d’Elisabeth Grümmer, soprano, Marga Höffgen, alto, Ernst Haefliger, ténor, Gottlob Frick, basse, auxquels venait s’adjoindre le superbe Chor der St. Hedwigs- Kathedrale, de Berlin.
texte de Michel Jakubowicz