Vladimir Horowitz : Toronto 1979
Toronto 1979
Palexa
(Integral Distribution)
Durée : 1h 16’
Notation : :-D :-D :-D :-D :-D
Excellentes conditions acoustiques pour ce concert de Vladimir Horowitz capté à Toronto en 1979. Le grand virtuose y déploie une fougue éclatante et y révèle un éclectisme caractérisé par le choix inusité d’œuvres rarement exécutées en récital, comme par exemple les "Drei Fantasiestücke" Op. 111 de Robert Schumann et les "Nachtstücke" Op. 23 n° 3-4 qui nous livrent un aspect secret, méconnu de l’univers pianistique de l’auteur des Kreisleriana et de Carnaval. Rachmaninov est bien sûr aussi du voyage avec sa Sonate Op. 36 (dans une version révisée par Vladimir Horowitz) ainsi que sa Polka de W.R.
Chopin est aussi présent avec un prenant Nocturne Op. 72 n° 1 dont Vladimir Horowitz sait exalter l’atmosphère rêveuse. Ne dédaignant nullement un retour au classicisme, Vladimir Horowitz nous joue une Sonate d’un compositeur bien oublié aujourd’hui, Muzio Clementi, une Sonate intitulée «Quasi concerto» Op. 33 No 3.
Enfin Franz Liszt avec sa Consolation n°3 offre à Vladimir Horowitz l’occasion d’en traduire, avec subtilité, toute l’étrangeté, toute l’émotion.
texte de Michel Jakubowicz
Palexa
(Integral Distribution)
Durée : 1h 16’
Notation : :-D :-D :-D :-D :-D
Excellentes conditions acoustiques pour ce concert de Vladimir Horowitz capté à Toronto en 1979. Le grand virtuose y déploie une fougue éclatante et y révèle un éclectisme caractérisé par le choix inusité d’œuvres rarement exécutées en récital, comme par exemple les "Drei Fantasiestücke" Op. 111 de Robert Schumann et les "Nachtstücke" Op. 23 n° 3-4 qui nous livrent un aspect secret, méconnu de l’univers pianistique de l’auteur des Kreisleriana et de Carnaval. Rachmaninov est bien sûr aussi du voyage avec sa Sonate Op. 36 (dans une version révisée par Vladimir Horowitz) ainsi que sa Polka de W.R.
Chopin est aussi présent avec un prenant Nocturne Op. 72 n° 1 dont Vladimir Horowitz sait exalter l’atmosphère rêveuse. Ne dédaignant nullement un retour au classicisme, Vladimir Horowitz nous joue une Sonate d’un compositeur bien oublié aujourd’hui, Muzio Clementi, une Sonate intitulée «Quasi concerto» Op. 33 No 3.
Enfin Franz Liszt avec sa Consolation n°3 offre à Vladimir Horowitz l’occasion d’en traduire, avec subtilité, toute l’étrangeté, toute l’émotion.
texte de Michel Jakubowicz