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Mary et Max

jaquette-mary-max Note Artistique : etoile-rougeetoile-rougeetoile-rougeetoile-rougeetoile-demi-rouge (4,5/5)
Note Technique : etoile-bleueetoile-bleueetoile-bleueetoile-bleueetoile-bleue (5/5)

De l’art de la pâte à modeler et de la stop motion, ou comment susciter l’interrogation et créer de l’émotion...

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Infos

  • Titre original : Mary and Max
  • Support : Blu-ray
  • Genre : Animation
  • Année : 2009
  • Réalisateur : Adam Eliott
  • Casting voix en VO : Toni Colette, Philip Seymour Hoffman, Barry Humphries, Eric Bana
  • Durée : 1 h 33 mn
  • Format vidéo : 16/9
  • Format ciné : 1,85/1, couleur
  • Sous-titrage : français
  • Pistes son : DTS-HD MA 5.1 (anglais, français)
  • Bonus : entretien avec Adam Elliot (28 mn), rencontre à Annecy avec Adam Eliott (13 mn), les voix originales (12 mn) et les voix françaises (5 mn), bande-annonce.
  • Éditeur : Gaumont

Synopsis

Une petite australienne Mary Dinkle, 8 ans et complexée, débute une correspondance avec Max Horowitz, 44 ans et juif new-yorkais obèse. Cet amour platonique et épistolaire se poursuivra pendant vingt années...

Galerie de photos

Commentaire artistique

Après trois courts-métrages d’animation en pâte à modeler, dont Harvie Krumpet (Oscar 2004), le cinéaste australien Adam Eliott se met au long-métrage, un format qui implique d’énormes disponibilités, cinq ans de préparation puis 57 semaines de tournage à raison de 2 mn 30 par jour ! Le film a nécessité une équipe de 50 personnes pour animer 212 marionnettes (73 kilos de pâte à modeler) dans 133 décors. Le look très particulier des personnages a été en partie inspiré des photographies de Diane Arbus. Les 138 480 images saisies par 6 caméras-photo HR ont permis de construire un univers à l’esthétique singulière. Pour obtenir une plus grande crédibilité des personnages, 886 mains et 1026 bouches auront été manipulées. Le récit explore deux destins parallèles, celui de Mary et de Max, deux citadins angoissés par la vie ;  le cinéaste au style incomparable, continuant l’analyse de personnalités insolites débutée dans ses courts métrages, abordent des thèmes universels, la différence, la solitude. Le scénario, à base autobiographique, donne vie au «perdant», le réalisateur avouant une fascination pour les marginaux qu’il dépeint dans cette histoire rythmée par l’humour et l’émotion. Une réussite : animation fluide, histoire originale, esthétique personnelle, un spectacle total pour ce récit émouvant et universel.

Commentaire sur les bonus

Classiques et néanmoins instructifs sur le comment du pourquoi...

Note Image :
etoile-orangeetoile-orangeetoile-orangeetoile-orangeetoile-orange (5/5)

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Note Son :
etoile-verteetoile-verteetoile-verteetoile-verteetoile-verte (5/5)

Note Bonus :
etoile-rougeetoile-rougeetoile-rougeetoile-demi-rougeetoile-grise (3,5/5)

Note Packaging :
etoile-bleueetoile-bleueetoile-bleueetoile-griseetoile-grise (3/5)

Commentaire technique

  • Un BD splendide.
  • Colorimétrie : gris (New-York) et bruns (Melbourne) voulus par l’auteur
  • Étalonnage : méticuleux
  • Contraste : excellent
  • Compression : parfaite (MPEG 4/AVC)
  • Définition : très pointue
  • Mixages : jamais démonstratifs, toujours naturel et bien spatialisé, sans excès

Liens Web

Bandes annonces en VOST et VF

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