Emmanuelle franchit le mur du son avec les Glory Walls
Lorsqu’un collectif au nom inspiré d’une héroïne aux mœurs débridées cherche une façon de faire connaître sa musique, il le fait de manière ludique, généreuse et…sexy.
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Triolet est donc le premier EP du collectif français Emmanuelle et, à l’occasion de son lancement, il est disponible sur un « Glory Wall ».
Je vous vois venir : « un Glory quoi ? ».
Le Glory Wall (et non le « Glory Hole » - terme que je vous laisse googler tout en vous conseillant de ne pas le faire sur votre lieu de travail…) est inspiré du projet Dead Drops lancé en 2010 par Aram Bartholl : des clés USB contenant l’EP d’Emmanuelle sont incrustées dans plusieurs murs de Paris afin de permettre à ceux qui viendront brancher leur ordinateur sur l’une de ces clés de récupérer l’EP en intégralité.
Ces fameux murs glorieux sont ornés d’un collage sexy pour ne pas les rater lorsque vous passerez dans l’est parisien et pour donner le ton à cette musique électro-sexuelle assez proche de l’univers du (déjà très érotique) « Sexuality » de Sébastien Tellier.
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L’EP Triolet est sorti sur le label StillMuzic le 18 mai et est composé de 3 titres originaux d’Emmanuelle accompagnés de six remix tout aussi sensuels de Raphaëlle Thibaut, Sox, Souleance, Loony Wise Men, Hat&Hoodie et Tommie Keeston.
Les lieux des 3 premiers « Glory Walls » visibles à Paris :
- 1 rue Pastourelle dans le 3èeme arrondissement
- rue Simon le Franc dans le 4ème arrondissement, côté rue du temple
- passage du chantier à Bastille, côté faubourg Saint Antoine
D’autres Glory Walls feront leur apparition ces prochains jours…
EMMANUELLE - " GLORY WALL " from Emmanuelle on Vimeo.
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