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Lilo, le moteur de recherche solidaire, made in France, qui monte, qui monte…

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Être en concurrence avec Google n’est pas chose aisée par les temps qui courent. Mais avec 700 000 internautes qui l’utilisent plus de 30 millions de fois par mois, le moteur solidaire et made in France Lilo vient de dépasser le demi-milliard de recherches.

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L’objectif de Lilo est de proposer une alternative neutre, qualitative et solidaire à Google, en reversant 50 % de son chiffre d’affaire à des structures engagées dans des projets sociaux ou environnementaux. Depuis la création de Lilo, cinquante projets ont été financés par 220 000 € recueillis.

L’argent que vous donnez chaque mois à Google

Beaucoup ne le savent pas, mais en utilisant le géant du web, les internautes génèrent chacun autour de cinquante euros par mois via la publicité. Le chiffre d’affaires de Google en 2016 s’élevait ainsi à 90 milliards de dollars, en faisant l’une des premières capitalisations boursières aux États-Unis. Lilo a décidé de faire les choses autrement en permettant aux internautes qui utilisent ce moteur de recherche de visualiser par des gouttes d’eau les revenus qu’ils génèrent grâce à leurs recherches. Les gouttes d’eau accumulées par les utilisateurs sont ensuite reversées à des projets de son choix via une plateforme dédiée.

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Praticité et transparence fiscale

Lilo se veut un moteur de recherche pratique et accessible, et peut s’utiliser soit via son URL, soit via des extensions de Firefox et de Chrome, soit encore sur application mobile iOS ou Android. Conçu en France, Lilo permet de choisir facilement l’utilisation des algorithmes de Bing, Yahoo ou Google et propose des outils contre le pistage (cookies, etc.). Par ailleurs, Lilo compense son empreinte carbone en reversant une partie de son chiffre d’affaires à des organisations spécialisées dans le stockage carbone et annonce un objectif de transparence fiscale tout en payant ses impots en France et non dans un paradis fiscal. Cela pour aller à contre-courant des techniques dites d’ « optimisation fiscale » utilisées entre autres par Google, Facebook, Amazon ou encore Yahoo, dont les recours aux paradis fiscaux ont entraîné des soupçons de fraude fiscale en France.

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