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CompaRecycle : un comparateur de prix dédié à la revente d’objets high-tech d’occasion

CompaRecycle

Nous sommes souvent largement équipés voire suréquipés en appareils high-tech : smartphone, baladeur, casque, téléviseur, ordinateur… Et parfois, quand nous en changeons, certains traînent au fond d’un placard ou dans une cave, alors qu’ils pourraient connaître une seconde vie. C’est la raison d’être du comparateur de prix CompaRecycle : faciliter l’achat et la revente d’objets high-tech d’occasion. En l’occurrence, CompaRecycle se définit comme un « comparateur de reprise high-tech hybride ».

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CompaRecycle a été lancé en 2012, sous la forme d’un comparateur de rachat. Aujourd’hui, le site se développe et se targue d’être le seul de ce type à proposer également du rachat en magasin physique – d’où le terme « hybride ». Ce comparateur concerne une vingtaine d’appareils high-tech, depuis les smartphones jusqu’aux caméscopes en passant par les imprimantes, casques ou téléviseurs. L’idée consiste à faciliter la revente d’appareils usagés pour développer un maximum le marché de l’occasion et du reconditionné. Car pour que ce marché se développe, il faut pouvoir collecter des appareils. 

Des appareils d’occasion rachetés en ligne ou en magasin

CompaRecycle travaille avec une cinquantaine de partenaires dans toute l’Europe. Les sites proposant le rachat d’appareils high-tech sont nombreux. Mais chacun d’entre eux propose ses propres tarifs et conditions de rachat. CompaRecycle permet aux utilisateurs qui souhaitent se délester d’un appareil de comparer les tarifs de rachat des différents partenaires pour en tirer le meilleur prix.

Sa particularité réside surtout dans le choix de revendre en ligne ou dans un magasin physique proche de chez soi. Via un rapide questionnaire en ligne, CompaRecycle se charge d’évaluer l’état de l’appareil et en fonction de sa référence, le site fournit une estimation du prix de rachat. Nous y voyons un autre avantage : il n’est pas nécessaire de décortiquer les conditions de chacun des sites, puisqu’elles sont les mêmes pour tous les partenaires de CompaRecycle, ce qui peut rassurer et aussi permettre de gagner un temps précieux. 

Si l’on choisit de revendre en ligne, on reçoit une étiquette prépayée pour envoyer le produit gratuitement ; le paiement est effectué par virement bancaire sous 7 jours. En revanche, si l’utilisateur préfère revendre en magasin, le site le dirige vers la meilleure offre à proximité de chez lui. CompaRecycle fournit alors un devis agrémenté d’un code barre qu’il n’y a plus qu’à scanner en magasin au moment du rachat. Attention, pour une revente en magasin, le paiement s’effectue en bons d’achat à dépenser sur place le jour même – une solution pratique si l’on souhaite remplacer un appareil mais qui ne convient pas forcément à tous. 

CompaRecycle, qui est actuellement présent en France, en Belgique, au Luxembourg, en Espagne et aux USA compte également se développer dans d’autres pays. En outre, le site s’adresse aux particuliers, mais également aux entreprises qui désirent revendre leur flotte de matériel. 

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Le reconditionné est promis à un bel avenir

Pour des raisons économiques et écologiques, le reconditionné attire de plus en plus de Français. Pour preuve, selon l’enquête IFOP réalisée pour Boulanger en novembre dernier, presque un Français sur deux (48%) était prêt à acheter des objets connectés d’occasion, sachant que certains étaient même partants pour offrir un appareil reconditionné comme cadeau de Noël (26%). La principale raison de ce choix est le prix (cité par 88% de répondants) tandis que la seconde est la préservation des ressources naturelles (69%).

De même, l’enquête Elabe sur « Les français et le recyclage » dévoilée en mars 2020 à l’occasion de la conférence de presse de l’éco-organisme Ecosystem révèle que 94% de Français pensent que pour agir sur l’environnement, il est utile de « donner, revendre ou faire réparer nos objets et appareils (électriques et électroniques) plutôt que de les jeter ». Par ailleurs, 81% trouvent utile de privilégier les achats de produits d’occasion.

Mais tout le monde ne saute pas le pas. Par manque de temps ou par méconnaissance, certains utilisateurs laissent des appareils traîner dans les tiroirs ou les placards – c’est particulièrement vrai pour les smartphones. L’éco-organisme Ecosystem estime que chaque année, 24 à 26 millions de téléphones sont mis sur le marché et que 5 à 9 millions sont réemployés (don, revente, reconditionnement). Mais 54 à 113 millions de vieux téléphones dormiraient dans les tiroirs des Français.



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