Test vidéoprojecteur BenQ GP500 : installation facile pour une image à la colorimétrie très maîtrisée
Le vidéoprojecteur BenQ GP500 est un modèle relativement compact, à courte focale, donc à placer entre le spectateur et l’écran. Il se destine principalement à être installé dans un salon pour des séances Home Cinéma, mais il peut également trouver sa place dans une chambre, voire une salle de réunion. Compatible 3D, il est doté d’une source lumineuse LED et il est capable d’afficher une image jusqu’à 150 pouces de diagonale avec une définition 4K Ultra HD. Le BenQ GP500 fonctionne sous Android TV et embarque un système audio treVolo pour un son sur 360 degrés.
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BenQ GP500
Type : vidéoprojecteur DLP 4 LED, 4K Ultra HD et 3D
L’avis d’ON-mag : (4,5/5)
Prix au moment du test : 1800 €
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Le design du vidéoprojecteur BenQ GP500 est plutôt original. On pourrait en effet le comparer à une sorte de périscope avec une partie supérieure légèrement plus avancée que la partie inférieure.
D’une forme globalement rectangulaire, l’appareil ne pèse que 5,4 kg, ce qui permet de le déplacer facilement d’une pièce à une autre, par exemple. Ses dimensions sont raisonnables puisqu’il mesure 260 mm de large pour 182,5 mm de haut et 266,5 mm de profondeur. Il repose sur trois patins en caoutchouc qui se dévissent et permettent de régler l’angle vertical et l’horizontalité par rapport à l’écran. Notez également la présence de pas de vis pour fixer un support vendu séparément.
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La molette du zoom, qui permet d’agrandir ou réduire la taille de l’image projetée, est accessible sur le dessus du BenQ GP500. On y trouve également quelques touches pour contrôler sommairement l’appareil afin de l’allumer, l’éteindre, régler le volume et sélectionner la source Bluetooth. Il y a également un capteur de luminosité qui permet d’adapter automatiquement la colorimétrie de l’image en fonction des conditions d’éclairage de la pièce. Proposé uniquement en blanc avec une façade bleu clair, le BenQ GP500 présente très bien. L’exemplaire prêté par la marque pour réaliser ce test ne souffrait d’aucun défaut de finition et présentait une qualité d'assemblage exemplaire.
Toutes les connectiques sont disponibles à l’arrière du vidéoprojecteur. Il y a le connecteur d’alimentation, dans la partie basse de l’appareil. Tout en haut, se trouvent une sortie audio analogique sur jack 3,5 mm, une sortie audionumérique optique, deux prises HDMI 2.0b dont une est compatible ARC ainsi que deux prises USB-A pour lire des contenus multimédia. Dommage qu’on ne puisse pas profiter d’un port compatible eARC permettant de faire passer les flux Dolby Atmos vers une barre de son. Le 5.1 est cependant supporté. Notez également la présence d’une troisième prise HDMI, cachée derrière une plaque en plastique, accessible par le dessus (à dévisser), mais qui est réservée au dongle Android TV. Il y a donc de quoi profiter de plusieurs sources, d’autant que le vidéoprojecteur est compatible WiFi et Bluetooth. Via cette dernière connexion, on peut utiliser les haut-parleurs du projecteur comme enceinte sans fil. On peut regretter, dans le cas d’une installation sédentaire, l’absence d’une prise Trigger pour commander l’ouverture et la fermeture d’un écran motorisé, par exemple. Pas de tuner TNT non plus sur cet appareil. Il faut donc passer par des applications comme Molotov ou MyCanal pour accéder aux chaînes de la TNT et plus.
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Fonctionnant sous Android TV, le BenQ GP500 peut recevoir des contenus sans fil via la fonction Chromecast. L’assistant vocal de Google est également de la partie. On peut également compter sur la fonction AirPlay d’Apple.
Le BenQ GP500 est accompagné de sa télécommande et d’un dongle HDMI. L’utilisateur est libre du choix de l'écran de projection, mais si son budget est limité, il peut aussi être tenté d’installer le vidéoprojecteur sans écran (en se servant d'un mur comme surface de projection) et donc perdre le bénéfice (important) d’avoir une surface optimisée pour la projection.
L’installation à la portée de tous
L’installation et la configuration du BenQ GP500 font partie de ses points forts. En effet, à chaque allumage, il établit automatiquement la netteté. Le trapèze est aussi réglé de manière autonome. Il suffit donc de poser l’appareil là où on le peut et celui-ci se charge de proposer l’image la plus rectangulaire et la plus nette possible, en quelques secondes seulement, avec un excellent résultat. Il peut toutefois arriver que l’opération échoue. En réessayant, on arrive tout de même à obtenir satisfaction. En outre, si les réglages automatiques ne fonctionnent pas convenablement ou ne proposent pas un résultat correct, il est toujours possible de passer en mode manuel. Le BenQ GP500 dispose d'un zoom de 1,3x pour un rapport de projection de 1.0-1.3. Une page dédiée sur le site Internet de BenQ permet de voir quelle taille d’écran on peut obtenir en fonction du recul de l’appareil.
Comme le Xgimi MoGo 2 Pro, ce modèle propose une fonction d’évitement des obstacles. Cela signifie que si un tableau accroché au mur est dans le cadre de l’image, celle-ci est alors automatiquement réduite pour ne pas déborder sur l’objet en question. En outre, comptez sur une mise au point automatique de la netteté dès qu’on bouge le vidéoprojecteur.
Le BenQ GP500 diffuse "une image à sa hauteur". Comprenez que la base de l’image projetée sera à peu près au même niveau que le bas de la partie périscopique de l’appareil. Rappelons que ce modèle a vocation à être installé entre le spectateur et l’écran (voire le mur sur lequel l’image est projetée). Avec un recul de 1 m par rapport à l’écran, nous avons obtenu une image de 94 cm de diagonale (84 cm de base) avec le zoom 1x qui permet d’obtenir la plus forte luminosité. À une distance de 2 m, on obtient une image de 180 cm de diagonale, toujours avec le zoom 1x. Pour profiter d’une image de 100 pouces de diagonale (254 cm), prévoyez un recul de 2,80 m par rapport à l’écran.
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La télécommande
La télécommande livrée avec le vidéoprojecteur fonctionne dans un premier temps avec un signal infrarouge. Ensuite, pour un plus grand confort d’utilisation, on peut utiliser le signal Bluetooth (pour éviter d’avoir à la pointer vers l’appareil). Cet accessoire est doté d’un microphone pour les commandes vocales. Bien qu’elle soit dépourvue de rétroéclairage, elle s’avère relativement ergonomique et facile à manipuler. Les touches sont agréables au toucher et on les trouve assez facilement à tâtons. On apprécie de pouvoir accéder directement aux menus de réglages de l’image, ce qui est toujours une bonne chose, puisque cela évite d’avoir à passer par différents sous-menus. Les modes d’image sont assez rapidement accessibles, car ils se présentent en premier après la pression sur la touche Projector Menu. Seule la plateforme Prime Video dispose d’une touche dédiée.
Android TV à bord avec son lot d’applications, mais sans Netflix ou presque
Le vidéoprojecteur BenQ GP500 fonctionne sous Android TV via un dongle à installer à l’intérieur de l’appareil. Il s’agit du modèle BenQ QS01, proposant Android TV 10. Il est alimenté par un câble micro USB prévu à cet effet. Nous n’avons rencontré aucune difficulté dans la mise en place et le fonctionnement de cet accessoire. Comme sur les télévisions, on a droit à une page d’accueil suggérant des contenus avec différents bandeaux, en fonction des applications disponibles. Plusieurs d’entre elles sont déjà préinstallées et d’autres peuvent être récupérées depuis la plateforme idoine.
Notre modèle de test a refusé l’installation de Netflix. On peut toutefois contourner le problème en utilisant l’application Apps Manager. En revanche, une fois Netflix installé, il faut passer par l’application BenQ Smart Control pour naviguer au sein de l’application. On laisse donc la télécommande de l’appareil de côté, qui peut toutefois encore servir pour gérer le volume.
Il n’y a pas d’application spécifique pour la lecture de contenus multimédia depuis un support USB ou depuis un dossier partagé sur le réseau domestique. On passe donc par VLC qui se comporte très bien et qui a été capable de lire nos médias 4K Ultra HD sans saccade.
À l’usage, nous avons trouvé que l’interface répondait avec une certaine vélocité, ce qui est toujours agréable. Comptez environ 40 secondes pour afficher le menu principal d’Android TV après avoir allumé le vidéoprojecteur. Un modèle Laser est plus prompt dans cet exercice.
L’appareil dispose de son propre menu pour effectuer les différents réglages. Celui-ci est plutôt intuitif et bien organisé pour s’y retrouver assez rapidement.
Une image d’une belle qualité avec une belle colorimétrie, d’origine
Le vidéoprojecteur BenQ est doté, comme beaucoup d’appareils du même genre, d’une puce DMD 0,47 pouce de Texas Instruments et une source de lumière 4 LED. Comme le Philips Screeneo U5, il simule une image avec une définition Ultra HD (4K) grâce au traitement XPR de Texas Instruments, projetant deux images légèrement décalées à une fréquence extrêmement élevée pour créer l’illusion d’une meilleure définition. Le résultat est très satisfaisant. Comme sur toutes les images produites par la technologie DLP, il y a une bordure grise autour de l’image. Le GP500 propose les modes de luminosité Eco, SmartEco et Normal. Le mode SmartEco permet d’économiser de l’énergie en réduisant l’intensité lumineuse ou en l’augmentant automatiquement lorsque c’est nécessaire.
Globalement, le projecteur BenQ GP500 diffuse des images qui s’avèrent extrêmement satisfaisantes. En effet, on profite d’un excellent piqué avec une belle définition et d’un bon travail de mise à l’échelle. L’illusion de la définition 4K Ultra HD est impeccable. On a même droit à une certaine profondeur de champ. Les couleurs paraissent naturelles, sans trop en faire. On bénéficie également d’une bonne luminosité et la gestion des contenus HDR, bien que non dynamique, est plutôt satisfaisante. Les séquences comprenant des éléments clairs sur des fonds sombres ressortent très bien avec assez de détails, sans être brûlés. Les tons de peau sont également agréables.
Les scènes de nuit sont un peu délicates et sont appréciées surtout dans les conditions de visionnage les plus sombres, notamment à cause de la faiblesse du contraste qui peut faire apparaître les fonds plutôt gris foncé que vraiment noirs.
Lors du visionnage de programmes sportifs ou de scènes particulièrement animées, nous n’avons constaté aucun décrochage sur les contours des objets. Le suivi est très bon. Le phénomène de Banding est plutôt bien géré, le vidéoprojecteur proposant des dégradés cohérents et équilibrés.
Le BenQ GP500 embarque une fonction d’étalonnage automatique des couleurs qui permet de s’assurer d’un certain niveau de fidélité. Il ne s’agit pas de calibration comme pourrait le faire un professionnel, mais d’un système qui analyse l’image produite pour en déceler les déviations par rapport à l’image d’origine et tenter de corriger les pertes de colorimétrie qui pourraient se produire avec le temps. N’ayant pu tester l’appareil que pendant quelques jours, nous n’avons pas pu vérifier l'efficacité de cette fonction, mais il peut être rassurant de l’avoir à bord.
S’agissant d’une technologie de projection DLP, nous avons remarqué un effet d’arc-en-ciel qui est certes très limité, mais tout de même présent. C’est subjectif, mais nous avons eu l’impression qu’il n’était pas plus visible que sur le Philips Screeneo U5, par exemple. Sa visibilité dépendra de la sensibilité de chacun à ce phénomène.
Le BenQ GP500 sur le banc de mesure d’ON-mag
Assez logiquement, c’est le mode d’image Cinéma qui permet d’obtenir les meilleurs résultats en sortie de carton. En SDR, nous avons mesuré un taux de contraste de 755:1, ce qui est acceptable, mais tout de même assez faible. La fidélité des couleurs est presque atteinte, en mode Cinéma, étant donné que nous avons mesuré un Delta E moyen de 3,28, une valeur légèrement supérieure au seuil de 3 sous lequel l’œil humain n’arrive théoriquement plus à faire la différence entre la couleur demandée et celle affichée. C’est un résultat plutôt satisfaisant, car beaucoup de vidéoprojecteurs ne s’approchent pas d’un tel niveau. La couverture de l’espace colorimétrique rec709 est de 92,9 %, ce qui est très bon.
Le gamma moyen a été mesuré à 2,19, extrêmement proche de la valeur cible de 2,2 avec une courbe qui suit bien celle de référence malgré un pic à 95% sur l’échelle de gris, proposant des images plus claires qu’elles ne devraient l’être. La température moyenne des couleurs a été mesurée à 5777 K, soit en deçà de la valeur cible de 6500 K, produisant des images plus chaudes, mais le rouge et le bleu dérivent plus que le vert.
Avec des contenus HDR, c’est aussi le mode Cinéma qui permet de produire l’image la plus proche du rendu cinéma. Nous avons relevé un Delta E moyen de 2,89, ce qui est inférieur au seuil de 3. On peut donc dire que ce vidéoprojecteur délivre des couleurs fidèles à celles demandées. Rappelons que BenQ calibre ses projecteurs avant leur commercialisation. Le pic de luminosité a été relevé à 138 cd/m² pour une image mesurant 100 pouces de diagonale. À une distance de 1,5 m de l’écran pour une image de 132 cm (52 pouces) de diagonale, le projecteur propose une luminosité de 404 cd/m². C’est particulièrement lumineux. En termes d’usage, vous pouvez donc en profiter dans une pièce légèrement éclairée, mais mieux vaut privilégier la pénombre, voire l’obscurité totale. Enfin, concernant les couvertures des espaces colorimétriques DCI-P3 et BT2020, nous avons obtenu des valeurs respectives de 94% et 77,83%, ce qui est excellent. Notez que le projecteur propose la fonction Wide Color Gamut qui permet d’atteindre de tels résultats, mais en faisant légèrement baisser la luminosité. La perte est de l’ordre de 5 à 8% environ.
Pour les jeux vidéo, le projecteur dispose d’un mode Jeu. Attention, une fois activé, cela annule les corrections automatiques de l’image concernant le cadrage. En mode Jeu avec la fonction Mode Rapide activée depuis les paramètres, le BenQ GP500 est capable de réduire son temps de retard à l’affichage jusqu’à un input lag de 20,2 ms (en 4K Ultra HD à 60 images par seconde), ce qui correspond à une image de retard entre le moment où le joueur appuie sur le bouton de la manette et où l’action se déroule à l’écran. C’est très satisfaisant. Dommage qu’il ne supporte pas la technologie d’optimisation pour le gaming VRR (Variable Refresh Rate).
L’audio sur 360 degrés avec modulation de la position
Le GP500 de BenQ est doté de quatre haut-parleurs installés dans la partie basse de l’appareil. Chacun propose une puissance de 5 watts, ce qui peut convenir à un petit salon ou à une chambre, mais pas beaucoup plus. Le traitement audio est assuré par un DSP treVolo. Le son est ainsi diffusé sur 360 degrés. Ce qui est original, c’est que le GP500 peut être installé à peu près n’importe où. En effet, il est possible d’orienter le son selon sa position par rapport au spectateur pour le diffuser plus au centre, à gauche ou à droite. Le principe est louable, mais il faut avouer que sur le terrain, le rendu n’est pas aussi précis que nous aurions pu l’espérer. Il y a bien des modifications d’orientation, mais elles s’avèrent légèrement brouillonnes. Le vidéoprojecteur propose cinq modes audio dont un personnalisable.
Le son produit est relativement agréable même s’il semble toujours un peu sortir d’une petite caisse. Les dialogues sont très clairs et parfaitement intelligibles, même à faible volume. L’ensemble manquant de puissance, pour un plus grand spectacle audio, nous conseillons tout de même l’association avec une barre de son ou un amplificateur et des enceintes Home Cinéma.
Un projecteur assez discret avec une consommation raisonnable
En fonctionnement, le vidéoprojecteur est relativement discret. En effet, nous avons mesuré une nuisance sonore moyenne de 35 dB collé à l’appareil et de seulement 33 dB en moyenne à 2 mètres de distance, devant lui. Concernant la consommation, nous avons relevé 107 watts en mode Cinéma avec une mire blanche à 100%, ce qui est assez raisonnable.
En résumé
Le vidéoprojecteur BenQ GP500 propose une très belle image 4K Ultra HD (bien que simulée) empreinte d’un excellent piqué et d’une colorimétrie tout à fait maîtrisée - et qui devrait le rester dans le temps grâce à une fonction d’autocalibration. Les réglages par défaut sont tout à fait satisfaisants et l’installation, très simple, facilite grandement la mise en œuvre d’une séance Home Cinéma en quelques secondes au sein d’un espace qui peut être limité, se positionnant typiquement sur une table basse. Le BenQ GP500 offre une bonne luminosité avec des séquences fluides, de préférence à voir avec un minimum d’éclairage autour de soi, mais également une certaine aptitude pour les jeux vidéo. Il est donc plutôt polyvalent et il offre, selon nous, une très bonne prestation pour son prix.
Conditions du test
Le vidéoprojecteur BenQ GP500 testé nous a été prêté par la marque. Il a été testé en association avec un écran Lumene Eden Extra Bright 240C disponible chez son-video.com. Il s’agit d’un modèle spécialement conçu pour les vidéoprojecteurs à ultra courte focale. Les mesures ont été réalisées avec du matériel professionnel adapté et en face de l’écran afin de limiter les erreurs et de proposer des valeurs en accord avec ce que le spectateur peut réellement voir. Il s’agit du même protocole appliqué pour tous les tests de vidéoprojecteurs à ultra courte focale afin de pouvoir les comparer.
Le vidéoprojecteur BenQ GP500 par ON-mag
Photos officielles du vidéoprojecteur BenQ GP500
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Spécifications
- Référence : BenQ GP500
- Type : vidéoprojecteur DLP 4 LED, 4K Ultra HD et 3D
- Source lumineuse : 4 LED (20 000 heures, mode normal)
- Luminosité : 1500 Lumens ANSI (pic, selon BenQ)
- Contraste dynamique : 100 000:1
- Taille d’image : jusqu’à 150 pouces
- Système : Android TV
- Contrôle vocal : oui
- Connectivité : WiFi, Bluetooth, 2x entrées HDMI 2.0b dont une compatible ARC, 2x prises USB-A, 1x sortie audionumérique optique, sortie audio analogique
- Niveau sonore : 35 dB mesuré collé à l’appareil
- Dimensions (l x h x p) : 260 x 182,5 x 266,5 mm
- Poids : 5,4 kg
- Prix : 1800 €
- Site du fabricant : BenQ
Notre avis
- Construction : (4/5)
- Équipement : (4/5)
- Ergonomie : (4,5/5)
- Performances : (4/5)
- Rendu cinéma : (4,5/5)
- Intérêt : (4,5/5)