Les ténors Christoph Prégardien et Julian Prégardien interprètent Beethoven et Schubert au Théâtre des Champs-Elysées.
Stravinsky, Mozart et Strauss au programme de l’Orchestre de chambre de Paris.
Cimarosa, Mozart et Danzi au programme de l’Orchestre de chambre de Paris dirigé par Trevor Pinnock.
Matthew Halls, à la tête de l’Orchestre de chambre de Paris, interprète trois chefs-d’œuvre ultimes de Mozart, avec comme solistes Raphaël Sévère à la clarinette et Marie-Ange Nguci au piano.
L’Orchestre de chambre de Paris est ce soir dirigé par la cheffe d’orchestre italienne Speranza Scappucci.
À la tête de l’Orchestre de chambre de Paris, le jeune chef Maxim Emelyanychev interprète Ravel, Haydn et Schumann. En soliste, le talentueux violoncelliste Sheku Kanneh-Mason interprète le Concerto pour violoncelle de Haydn.
Trois compositeurs au programme de l’Orchestre de chambre de Paris : Mozart, Dumont et Beethoven.
Farrenc, Beethoven et Schumann au programme de l’Orchestre de chambre de Paris dirigé par Lars Vogt avec en soliste la violoniste Antje Weithaas.

Emmanuel Pahud.
Saint-Saëns, Mozart, Chaminade et Stravinski au programme de l’Orchestre de chambre de Paris.
Mahler, Strauss, Fauré et Britten au programme de l’Orchestre de chambre de Paris dirigé par Lars Vogt, avec comme soliste le ténor Ian Bostridge.
Lars Vogt dirige l’Orchestre de chambre de Paris dans un programme Bach/Kurtag.
Douglas Boyd, de retour au Théâtre des Champs-Elysées à la tête de l’Orchestre de chambre de Paris, inscrit à son programme Edward Elgar, George Benjamin et Joseph Haydn.
Antje Weithaas, au violon et à la direction de l’Orchestre de chambre de Paris, propose un programme dédié à Schubert revu par Mahler ainsi qu’à Fanny et Félix Mendelssohn.

Hervé Niquet/Shani Diluka.
Hervé Niquet, à la tête de l’Orchestre de chambre de Paris, propose un programme riche en surprises, se plaçant délibérément hors des sentiers battus.

©Kaupo Kikkas
- Johannes Brahms : Ouverture tragique en ré mineur, op.80
- Camille Saint-Saëns : Concerto pour violoncelle et orchestre N°1 en la mineur, op.33
- Richard Wagner : Siegfried-Idyll
- Camille Saint-Saëns : Concerto pour violoncelle et orchestre N°2 en ré mineur, op.119
- Lars Vogt, direction
- Alban Gerhardt, violoncelle
- Orchestre de chambre de Paris
- Samedi 16 octobre 2021, à 20 h
- Théâtre des Champs-Elysées
www.orchestredechambredeparis.com
Lars Vogt, à la tête de l’Orchestre de chambre de Paris, réunit trois compositeurs qui marquent fortement par leur personnalité la fin du XIXème siècle en Europe.
- Joseph Haydn : intégrale des symphonies dites ''parisiennes'', Nos 82 ''L'Ours'', 83, ''La Poule'', 84 , ''In Nomine Domini'', 85, ''La Reine'', 86 & 87
- Orchestre de Chambre de Paris, dir : Douglas Boyd
- 2 CDs NoMadMusic : NMM078 (Distribution : PIAS)
- Durée des CDs : 69 min 15 s + 66 min 18 s
- Note technique :




(5/5)
Les six symphonies que Joseph Haydn a composées à Paris en 1785 & 1786 l'ont été sur une commande française pour l'Orchestre du Concert de la Loge Olympique. Plusieurs manuscrits en sont conservés à la BNF. Cette nouvelle intégrale due à l'Orchestre de Chambre de Paris dirigé par Douglas Boyd est d'une remarquable probité musicale, qui la place en bonne position face aux versions de référence de Dorati ou d'Harnoncourt.
- Mendelssohn : Les Hébrides ouverture
- Dvorak : Concerto pour violon et orchestre en la mineur
- Sibelius : sérénade pour violon et orchestre N°1 en ré majeur
- Brahms : Symphonie N°2 en ré majeur
- Lars Vogt : direction
- Christian Tetzlaff : violon
- Orchestre de chambre de Paris
- Mercredi 30 septembre 2020, à 20 h
- Théâtre des Champs-Elysées
www.orchestredechambredeparis.com
Mendelssohn, Dvorak, Sibelius et Brahms au programme de l’Orchestre de chambre de Paris.
- Mozart : Concerto pour piano et orchestre N°24 en ut mineur, K.491
- Hummel : Concerto pour trompette et orchestre en mi bémol majeur, WoO.1/S.49
- Kodaly : Danses de Galanta
- Donizetti : « Salut à la France », extrait de La Fille du régiment
- Gounod : « Ah je ris de me voir si belle en ce miroir », extrait de Faust
- Orchestre de chambre de Paris
- Marzena Diakun, direction
- Marie-Ange Nguci (piano), Lucienne Renaudin Vary (trompette), Jodie Devos (soprano), Marie Perbost (soprano)
- Nicolas Lafitte présentation
- Théâtre des Champs-Elysées
Samedi 26 septembre 2020, à 20 h
www.orchestredechambredeparis.com
Un parcours musical varié débutant par Mozart pour s’achever avec Gounod.

- Dmitri Chostakovitch : Deux Pièces pour octuor à cordes op.11
- Sofia Gubaïdulina : Triple Concerto pour violon, violoncelle, bayan et orchestre (création française)
- Richard Strauss : Salomé, extrait : Danse des sept voiles - Le Chevalier à la rose, suite d’orchestre
- Orchestre Philharmonique de Radio France
- Mikko Franck, direction
- Baiba Skride, violon
- Harriet Krijgh, violoncelle
- Elsbeth Moser, accordéon
- Arno Madoni, Cyril Baleton
- Jean-Philippe Kuzma, Amandine Ley, violon
- Julien Dabonneville, Aurélia Souvignet-Kowalski, alto
- Nicolas Saint-Yves, Nadine Pierre, violoncelle
- Auditorium de Radio France, Vendredi 15 juin 2018
www.maisondelaradio.fr
Un concert réunissant le post-romantisme façon Richard Strauss et deux représentants russes de la modernité. D’abord celle de Dmitri Chostakovitch (1906-1975) et celle de Sofia Gubaïdulina (née en 1931), dont l’œuvre exécutée ce soir en création française date de 2017.
Orchestre de chambre de Paris
Douglas Boyd, direction
David Fray, piano
au Théâtre des Champs-Elysées, mercredi 8 mars 2017, 20H
Mendelssohn : La Belle Mélusine, ouverture en fa majeur ; Concerto pour piano No1 en sol mineur ; Capriccio brillant ; Symphonie No1 en ut mineur
www.orchestredechambredeparis.com
Mendelssohn, dès l’âge de dix-sept-ans avait déjà prouvé son attachement au monde de la magie et de l’enchantement en composant son Ouverture du Songe d’une Nuit d’été. En 1833, Mendelssohn renoue à nouveau avec le monde des fées en composant l’ouverture La Belle Mélusine. Wagner, Schumann, Rossini restent frappés d’émerveillement en découvrant cette ouverture de Mendelssohn qui d’une certaine façon s’avère un peu comme l’héritier de Weber qui avec son opéra Der Freischütz avait ouvert la voie dans le domaine du royaume des fées et du fantastique.